Symbiosphere dans La Libre

Trump a su capter l’état d’esprit des classes populaires. Dans un monde violent, en virtuelle décroissance, il leur offre de rallier le camp des forts.

Extrait : « Ce dont manque le peuple, c’est moins d’éducation que d’imagination. Et l’imagination croît sur le terreau des possibles. Offrir de nouveaux possibles, c’est la tâche de la gauche et de l’écologie politique. »

À lire dans La Libre : Trump, pour se ranger derrière le plus fort

Sur ce blog, avec un titre différent : Trump, premier Potus d’un monde post-croissance

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Auteur : symbiosphere

Biologiste et historien de la philosophie belge d’ascendance celte. Né en même temps que la crise pétrolière. Se revendique du courant alterdarwiniste et de la théologie des puissances intermédiaires confuses. Herboriste néopaïen, confesse une croyance à faible intensité en un Dieu unique et croit encore moins en l’Homme, mais bien à la multitudes des interactions et des esprits qui criculent entre la croûte terrestre et la voûte céleste, ainsi qu’aux chants et prières qui les flattent ou les agacent. Libéral pour les pauvres et socialiste pour les riches, juste pour rééquilibrer. Lance en 2016 une réflexion symbiopolitique en vue de renouer des alliances entre les populations humaines, végétales, animales et microbiennes contre la menace des biorobots et l’impérialisme technoreligieux de l’Occident capitaliste. M.L. : « Tout ce qui précède est vrai sauf ma nationalité, car la Belgique n’existe plus assez pour me nationaliser. »

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