Quelle surmortalité ? Lettre ouverte aux statisticiens.

Facteur confondant, covariable, dispositif expérimental… Symbiosphere a ressorti les cours de stat pour discuter la surmortalité belge en mars et avril.

Un article publié sur lalibre.be, le 28-04-2020

La période que nous traversons a vu émerger une nouvelle figure d’expert au cœur de la cité : les statisticiens. Grâce à eux, nous sommes désormais tous un peu experts en courbes, exponentielles et biais statistiques. Seulement voilà. Il y a les chiffres, ce qu’ils disent, et ce qu’on en fait…

Lire la suite sur symbiosphere ou retrouvez ce texte en intégralité sur lalibre.be

Et quelques pièces à verser au dossier…

A lire dans Le Monde, quelques jours après la publication de notre lettre ouverte : une étude estime que 11.000 vies ont été épargnées en Europe du seul fait de la baisse de la pollution atmosphérique.

Nouvelle pièce à verser au dossier, le 2 mai 2020, avec un article du Soir rapporte une baisse de 70% des accidents de la circulation entraînant des blessures, 28% des accidents impliquant un cycliste et entraînant un décès ou des blessures graves.

Selon cet article du Guardian, des experts estiment que 18.000 personnes atteintes d’un cancer pourraient mourir en Grande-Bretagne du seul fait de l’interruption ou du retard de leur traitement. Et cela vaudrait aussi pour d’autres pathologies.

Avatar de Inconnu

Auteur : symbiosphere

Biologiste et historien de la philosophie belge d’ascendance celte. Né en même temps que la crise pétrolière. Se revendique du courant alterdarwiniste et de la théologie des puissances intermédiaires confuses. Herboriste néopaïen, confesse une croyance à faible intensité en un Dieu unique et croit encore moins en l’Homme, mais bien à la multitudes des interactions et des esprits qui criculent entre la croûte terrestre et la voûte céleste, ainsi qu’aux chants et prières qui les flattent ou les agacent. Libéral pour les pauvres et socialiste pour les riches, juste pour rééquilibrer. Lance en 2016 une réflexion symbiopolitique en vue de renouer des alliances entre les populations humaines, végétales, animales et microbiennes contre la menace des biorobots et l’impérialisme technoreligieux de l’Occident capitaliste. M.L. : « Tout ce qui précède est vrai sauf ma nationalité, car la Belgique n’existe plus assez pour me nationaliser. »

Laisser un commentaire